Un très beau livre de nos amis Lise et Frédéric après plusieurs mois en Afrique, à commander ici
Les auteurs :
Pendant plusieurs années, Lise Bellynck et Frédéric Aspisi ont séjourné longuement en Afrique de l’Ouest. Traversées en 4×4, mise en place d’un cinéma ambulant, tournage de film, vie au village. Ils convoquent les images et les fantômes de cette existence itinérante à travers ce premier livre écrit à quatre mains.
Le livre :
On est dans la voiture. Derrière les vitres il y a
toute l’Afrique de l’Ouest qui vit et qui meurt.
Envie d’un café pour se réveiller définitivement.
Ne pas avoir d’accident.
On s’arrête – on sort de la voiture.
Parfois c’est lui qui se souvient, parfois c’est elle.
Des critiques enthousiastes :
« Bravo ! J’ai savouré votre livre comme on savoure une série de cartes postales d’ambiances très touchantes reçues d’amis partis en voyage… loin ! Je me suis senti à vos côtés durant votre voyage en Afrique, grâce à vos belles plumes alertes et toujours sincères. Tour à tour, selon les jours… J’ai été compatissant pour (…) ! J’ai transpiré avec vous à cause de la (…) ! J’ai été mi-amusé mi-inquiet devant vos difficultés pour trouver l’introuvable (…) ! J’ai été consterné par le « bal des (…) » et le « bal des (…) ». J’ai été admiratif de l’humanisme dégagé par vos rencontres au hasard de votre périple. J’ai aimé quand vous avez offert votre (…) à quelqu’un en ayant plus besoin que vous ! Vous m’avez saisi avec vos remarques avisées sur les « bouts d’Europe » présents en Afrique : dans une « voiture climatisée » ou dans la « maison bunker » d’un coopérant. Deux phrases prononcées par vos interlocuteurs africains me restent particulièrement en tête : (…).
Bravo pour ce beau récit-témoignage de votre courageux et haletant périple! »
Olivier Démoulin, écrivain
« Lise et Fred, on n’a
pas envie que ça s’arrête quand on vous lit… on a l’impression de comprendre un
peu mieux… J’ai bien ri aussi avec vous et avec eux, malgré le tragique parfois
et la poésie aussi. Merci de ce moment de partage. »
Régine Zecconi
« Lise, Frédéric, Je me suis délecté à la lecture de votre livre !
C’est vrai. »
Yves Mittaine
« Fred, j’ai lu votre livre … Il super drôle et très intéressant. J’ai ri de la première page …à la dernière. J’avais l’impression de vous avoir en face en train de me raconter l’histoire. Je pense que personne ne comprendra ce livre autant que moi (un bounti). Merci pour ce compte rendu fidèle des réalités qui existent ici et en Afrique…c’est très cool. Appelle-moi…on pourra discuter du marabout qui regardait Lise à travers le rideau soulevé par le vent ( jalousie?) …ou de France 24. En tout cas c’est un livre dans lequel je vous reconnais entièrement et qui me replonge dans les bons moments qu’on a passé ensemble et que j’espère de tout cœur qu’on pourra revivre là-bas un jour. » Kader Saadou
« Votre livre, je l’ai dévoré. J’ai adoré ce style et toutes les impressions qu’il me redonne de l’Afrique. J’aime la vision, le regard, le ressenti. Vous avez vraiment bien fait d’écrire ce texte. » Mariette Hurand
« Le livre a été
commandé et lu d’une traite sur une plage corse pendant les vacances !!!
C’était un grand bonheur, et si justement écrit… »
Michel, homme d’affaires et photographe
« C’est quoi être dans un rapport d’égalité avec quelqu’un ? C’est être soi face à l’autre dans un voyage au long cours, et s’arrêter au milieu de nulle part pour passer l’ornière, se retrouver alors qu’on est perdus bien loin des sites touristiques certes mais pas seulement bien loin des gens qui vous connaissent si bien qu’ils oublient de vous rappeler qui vous êtes ou voir même de vous le dire… ils sourient à tous vos défauts : manque de confiance ; tu deviens con, casanier, replié en zone de confort… tu arrêtes de faire de ta vie un art de vivre….. à moins que tu fréquentes des autres… par tous les chemins possibles… – où que tu sois ? Si tu le lis tu seras un peu là-bas et surtout dans tes pompes, sur les traces politiques et humaines d’un avenir à «sciencer». Ah, j’ai oublié de vous dire que c’est un livre qu’on peut lire à voix haute, comme de la poésie à quelqu’un qu’on aime et c’est pas si fréquent, si c’est un enfant un ado, lui expliquer les termes qu’il ne comprend pas, s’il le demande, où commencer par là : tu sais ce que c’est les grins de thé ? C’est à quatre mains une femme un homme et pas une goutte… en trop…et c’est un livre d’adultes libres » Nathalie Feyt